Y-U-L-I-N 玉林!!!
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(Merci beaucoup à Geneviève, Maxine, Nidia)
Ça commence, ça recommence --- de plus belle…
Très tôt le matin. Le Grand Marché est déjà noir de monde. L’odeur pestilentielle, les cris d’épouvantes poussés par les chiens, contrastent avec la frivolité que l’on peut lire sur les visages de l’assemblée. Les acheteurs sont bien moins nombreux que les simples « visiteurs ». L’attente du « spectacle » est palpable au sein de la foule amassée.
Les photos suivantes parlent d’elles-mêmes :
L’écœurement est à son comble lorsque les trafiquants, voyant l’hésitation des militants à acheter des chiens, se mettent, pour forcer la vente, à attacher les chiens sur le dos, à les battre, à les piquer violemment… provoquant alors les cris déchirants de ces chiens :
Certains habitants vendent leurs propres chiens, de préférence aux militants. Et cela pour deux raisons : 1 ça se vend plus cher, 2, ils gardent la « CONSCIENCE » tranquille !!!
Partout où nous sommes passés, nous avons été « escortés » ou suivis par des policiers en civil. Toutes nos actions ont été contrôlées, contrecarrées :
Des « contrôleurs » de marchés nous ont interdit de prendre des photos, de filmer ; plusieurs dizaines de personnes nous ont hués et raillés, nous ont cogné, ils ont même arrachés nos téléphones portables et nos appareils photos ! La caméra vidéo de CNN a été endommagée par un projectile, une vieille femme a menacé le caméraman au couteau !
En plein jour, une militante (Mme DU Yufeng: http://urgence-animaux-de-chine.over-blog.com/article-rapport-en-provenance-de-l-enfer-107470933.html ) s’est faite volé son sac à main, arraché violemment par deux « gaillards ». Dans le sac se trouvait la donation qu’elle avait reçue pour sauver quelques chiens, soit plusieurs milliers de yuans (environ mille euros). Les « contrôleurs » et l’un des policiers en civil sur place n’ont pas bougé. Mme DU Yufeng a porté plainte mais la police refuse de se rendre sur place:
Des policiers en civil ont arraché les banderoles des militants :
Une journée d’enquête acharnée nous a permis de découvrir que le service de « sécurité alimentaire » trompe l’opinion publique et que leurs directives ne sont que LETTRES MORTES : partout ce ne sont que massacres et « commerce » de vies !!
Pendant plusieurs jours, une enquête a été menée sur place par un groupe composé de cinq avocats chinois (dont Me CAI Chunhong 蔡春红 : http://urgence-animaux-de-chine.over-blog.com/article-qui-a-tue-mars-109585359.html ) et de militants.
622 Chinois se sont portés partie civile en fournissant leurs vrais noms, leur numéro de téléphone portable et leur numéro de pièce d’identité !!! :
4 dossiers de plainte ont été adressés respectivement aux organismes suivants :
Agence locale de Surveillance des Produits Alimentaires et Pharmaceutiques ;
Comité locale de Sécurité Alimentaire ;
Bureau exécutif local sur l’application de la loi urbaine ;
Bureau local des Produits Aquatiques et de l’Elevage :
Le Bureau des Produits Aquatiques et de l’Elevage a bien reçu notre dossier :
Lors de notre visite à l’Agence de Surveillance des Produits Alimentaires et Pharmaceutiques, nous avons été accueillis» par une employée très agressive. M. LI Junqing, responsable du service, a refusé de décrocher son portable ; quant à notre tentative de le joindre sur son téléphone fixe, on nous a répondu que « c’était une erreur de numéro ».
Le Bureau exécutif sur l’application de la loi urbaine nous a réservé un accueil FROID. Personne dans le bâtiment n’était présent sinon un vieillard « en service », son pied nu posé sur une table.
Quand nous nous sommes rendus à la Mairie de YULIN (un bâtiment luxueux), plusieurs dizaines de policiers en uniforme et en civil sont sortis de nulle part et nous ont photographiés sans relâche. Ils nous ont interdit de les photographier en nous criant : « on vous arrachera vos portables». Les militantes présentes se font fait menacer par des habitants et des policiers. Un avocat a du s’interposer pour les protéger. Un véhicule de personnes en uniforme :
Personne n’a répondu à nos questions, à la manière de personnes ne comprenant pas le chinois. Lorsque nous les avons photographiés de loin, ils se sont dispersés précipitamment comme des oiseaux :
Cet homme vêtu en noir se dit être un passant mais il rentre et sort de la mairie en toute liberté. Lorsqu’on lui pose des questions, il tourne le dos tout en murmurant des choses inaudibles :
AUCUN ACCUEIL DE LA PART DE LA MUNICIPALITE LOCALE. LES MOYENS DE COMMUNICATION SONT PARALYSES.
« Grâce à » la propagande du gouvernement local, les habitants de Yulin considèrent que toute personne venant d’ailleurs est payée par des Etrangers antichinois… Nous avons été insultés dans la rue et nos affaires personnelles ainsi que notre matériel ont été arrachés :
Selon le Centre local de la prévention de maladies, Yulin est une zone de très haut risque de rage :
Regardez cet homme : sa main gauche pend un chien, sa main droite serre un enfant de trois, quatre ans:
YULIN, VOUS ETES SYNONYMES DE HONTE !!!
Y-U-L-I-N玉林!!!
It's starting, it's starting again....and even more so.
Very early in the morning. The Big Market is already swarming with people. The pestilential smell, the terrified cries of the dogs, are a contrast to the frivolity seen on peoples' faces. The customers are a lot fewer thanordinary"visitors". The expectations of the crowd for the "show" are tangible.
The following photos speak for themselves :
Nausea is at its highest when the traffickers, seeing the militants' hesitation at purchasing the dogs, begin tying the dogs on their backs, in order to force the sale, beating them, violently pricking them.....provoking harrowing cries from the dogs :
Some inhabitants sell their own dogs, preferably to the militants for two reasons : 1 it's sold for more, 2, they keep a clear "conscience" !!!
Everywhere we went, we were "escorted" or followed by police in plain clothes. All our actions were checked,thwarted.
Market "inspectors" forbade us to take photos, to film; several dozen people booed and mocked us, hit us, they even snatched our mobile phones and our cameras ! The CNN video camera was damaged by a projectile, an old woman threatened the cameraman with a knife !
In plain daylight Mme DU Yufeng (a militant : http://urgence-animaux-de-chine.over-blog.com/article-rapport-en-provenance-de-l-enfer-107470933.html ) had her bag stolen, snatched violently by two "guys". In the bag was the donation she'd received to save some dogs, several thousand yuans (about 1000 €). The "inspectors " and one of the plain clothes policemen didn't move a muscle. Mme DU Yufeng made a complaint but the police refused to go.
Plain clothes policemen tore down the militants' banners : A day's relentless enquiry allowed us to discover that the department of "food safety" is deceiving public opinion and that their orders GO UNHEEDED : everywhere are killings and "trading" of lives !!
For several days, an enquiry was held there by a group of 5 Chinese lawyers ( one of whom was M. CAI Chunhong 蔡春红: http://urgence-animaux-de-chine.over-blog.com/article-qui-a-tue-mars-109585359.html ) and militants. :
622 Chinese filed a civil case, giving their real names, their mobile telephone numbers and the numbers of their identity cards !!!
4 complaints were filed, respectively against :
Local Agency of surveyance of foodstuffs and pharmaceuticals
Local committee for Food Safety,
Local executive office for the application of urban law
Local Office of Farm & Aquatic Products . Photos
Local Office of Farm & Aquatic Products has received our case file:
Local Agency of surveyance of foodstuffs and pharmaceuticals , we are greeted by a very agressive employee and M. LI Junqing, director of the department, refuses to answer his mobile phone; when we try to reach him on his land line, we're told that we "did a wrong number"
Local executive office for the application of urban law gave us a very COLD reception : Nobody in the building except an old man "on duty", with his bare foot up on a table.
When we went to the YULIN town hall, (a very luxurious building ) several dozen plain clothes and uniformed policemen came out of nowhere, taking endless photos of us, and forbidding us to take their photos, shouting : " We'll take away your mobiles". In order to protect the women, a lawyer almost came to blows :
A vehicle of people in uniform :
No-one answers our questions, it's as if nobody understands Chinese. When we take photos from a distance, they scatter quickly like birds.
This man dressed in black says he's a passer-by but he enters and leaves the town hall quite freely. When we ask him questions, he turns away, murmuring something we don't hear :
NO WELCOME FROM THE LOCAL AUTHORITY; COMMUNICATION IS PARALYSED.
"Thanks to" the local government propaganda, the YULIN inhabitants think that everyone coming from elsewhere is payed by anti-Chinese foreigners.....
We are insulted in the street and our personal belongings and equipment are snatched.
According to the local Centre for the Prevention of Illness, Yulin is a highly dangerous zone for rabies :
Look at this man : his left hand is hanging a dog, his right hand is holding a child of three or four years of age :
YULIN, YOUR NAME IS SHAME ! ! !
Y-U-L-I-N玉林!!!
Es fängt an; es fängt wieder an… noch einmal!
Sehr früh am Morgen ist der große Markt schon voll mit Leuten. Der fürchterliche Gestank, die vor Entsetzen ausgestoßenen Schreie der Hunde kontrastieren mit der Leichtsinnigkeit, die von den Gesichtern der Menge abzulesen ist. Es gibt wesentlich weniger Käufer als einfache „Besucher“. Man spürt deutlich, dass die Menschenmenge das „Schauspiel“ erwartet.
Die folgenden Fotos sprechen für sich:
Der Ekel erreicht seinen Höhepunkt, als die Schwarzhändler, indem sie sehen, wie die Tierschützer zögern Hunde zu kaufen, den Verkauf anregen wollen: sie binden die Hunde auf dem Rücken an, verprügeln sie, stechen sie heftig an… und lösen die herzzerreißenden Schreie dieser Hunde aus. Manche Einwohner verkaufen ihre eigenen Hunde, lieber den Aktivisten. Und das aus zwei Gründen: erstens verkauft es sich teurer, zweitens haben sie ein „gutes“ GEWISSEN!!!
Überall, wo wir gegangen sind, sind wir „geleitet“ worden, oder von Polizisten in Zivilkleidung gefolgt. All unsere Handlungen sind kontrolliert, vereitelt worden:
Marktprüfer “ haben uns verboten Fotos zu nehmen und zu filmen; mehrere Dutzende von Leuten haben uns ausgepfiffen und verspottet, haben uns verprügelt, sie haben uns sogar unsere Handys und Fotoapparate aus den Händen gerissen ! Die Videokamera von CNN ist von einem Wurfgeschoss beschädigt worden, eine alte Frau hat den Kameramann mit einem Messer bedroht!
Bei hellem Tag ist einer Aktivistin (Frau DU Yufeng: http://urgence-animaux-de-chine.over-blog.com/article-rapport-en-provenance-de-l-enfer-107470933.html ) ihre Handtasche von zwei „Burschen“ gerissen worden. In dieser Handtasche befand sich die Schenkung, die sie bekommen hatte, um einige Hunde zu retten, nämlich mehrere Tausende Yuans (etwa tausend Euro). Die „Prüfer“, und einer der Polizisten in Zivilkleidung, die vor Ort waren, haben sich nicht gerührt. Frau DU Yufeng hat eine Strafanzeige gestellt, aber die Polizei will nicht dorthin gehen.
Polizisten in Zivilkleidung haben die Spruchbänder der Aktivisten von den Händen gerissen:
Nach einem Tag unermüdlicher Untersuchung haben wir entdeckt, dass das Amt, das für die „Sicherheit der Ernährung“ sorgen soll, die Öffentlichkeit betrügt und dass seine Richtlinien unbeachtet sind: überall ist es nur Gemetzel und „Handel“ mit Leben !!
Mehrere Tage lang hat eine Gruppe von 5 chinesischen Rechtsanwälten (unter denen Herr Rechtsanwalt CAI Chunhong 蔡春红: http://urgence-animaux-de-chine.over-blog.com/article-qui-a-tue-mars-109585359.html ) und Aktivisten eine Untersuchung vor Ort geführt. Hier das Ergebnis :
622 Chinesen sind als Nebenkläger aufgetreten und haben ihre richtige Identität, die Nummer ihres Handys und die ihres Ausweises vorgelegt!!!:
4 Strafanzeigen sind gestellt worden, jeweils an:
- Das örtliche Kontrollamt der Lebensmittel und der Medikamente ;
- Der örtliche Ausschuss zur Nahrungsmittelsicherheit;
- Das Exekutivamt zur Umsetzung des städtischen Gesetzes;
- Das örtliche Amt der Wasser- und Zuchtprodukte:
-Das Amt der Wasser- und Zuchtprodukte hat unsere Akte empfangen
- Auf dem Örtlichen Kontrollamt der Lebensmittel und der Medikamente werden wir von einer sehr aggressiven Frau „empfangen“ und Herr LI Junquing, der Abteilungsleiter, lehnt es ab auf seinem Handy zu antworten; als wir versuchen, ihn auf der Dienstleitung zu erreichen, wird uns geantwortet, wir hätten „eine falsche Nummer gewählt“.
- Das Exekutivamt zur Umsetzung des städtischen Gesetzes hat uns sehr kalt empfangen: niemand befand sich im Gebäude außer einem alten Mann „im Dienst“, mit dem nackten Fuß auf einem Tisch gelegt.
- Als wir zum Rathaus in Yulin gingen (ein luxuriöses Gebäude), kamen mehrere Dutzende von Polizisten in Uniform und in Zivilkleidung aus nirgendwoher und fotografierten uns ständig, indem sie uns gleichzeitig verbaten sie zu fotografieren und schrien: „dein Handy wird dir aus den Händen gerissen!“. Ein Rechtsanwalt ist beinahe handgreiflich geworden, um die Frauen zu beschützen.
Das Fahrzeug von Leuten in Uniform.
Auf unsere Fragen antwortet niemand; es ist, als ob sie kein Chinesisch verstehen würden. Wenn man sie mit Abstand fotografiert, zerstreuen sie sich schnell wie Vögel:
Dieser in Schwarz angezogene Mann stellt sich als ein Passant vor, aber er tritt frei ins Rathaus ein und auch noch aus. Wenn er gefragt wird, dreht er den Rücken und murmelt etwas Unverständliches vor sich hin:
Kein Empfang von Seiten der örtlichen Gemeinde. Die Kommunikation ist blockiert.
„Dank“ der Propaganda der örtlichen Regierung halten die Einwohner von Yulin jeden Fremden als jemanden, der von den antichinesischen Ausländern gezahlt wird… Wir werden auf der Straße beschimpft und unsere persönlichen Sachen so wie unser Material wird uns aus den Händen gerissen:
Nach dem örtlichen Amt zur Vorbeugung der Krankheiten ist Yulin ein Gebiet, wo ein sehr hohes Tollwutrisiko herrscht:
Schauen Sie sich diesen Mann an: mit der linken Hand erhängt er einen Hund, während er mit der rechten Hand ein drei- bis vierjähriges Kind hält:
Yulin, Sie sind gleichbedeutend
mit Schande !!!
Y-U-L-I-N 玉林!!!
¡Empieza una y otra vez!.. cada vez peor.
Muy temprano por la mañana el mercado está repleto de gente. El olor pestilente y los chillidos dolorosos de los perros contrastan con la frialdad que se lee en los rostros de los presentes. Los compradores son pocos en comparación con la cantidad de curiosos. La expectativa del espectáculo es palpable en la masa de gente.
Las fotos que se muestran más abajo hablan por sí solas:
El asco llega a su colmo cuando un traficante, ante el titubeo de los defensores de animales en la compra de los perros, empieza a amarrar los perros de espalda, a golpearlos y a picarlos con violencia para forzar la compra. Les alaridos de los perros son desgarradores.
Algunos habitantes venden sus propios perros, de preferencia, a los defensores de animales, lo que les permite: 1. Venderlos a mejor precio y 2. ¡Quedarse con la "consciencia" tranquila!
Por todas partes fuimos « escoltados » o seguidos por policías vestidos de civil. Todas nuestras acciones fueron controladas o incluso, retenidas:
“Controladores” del mercado nos prohibieron tomar fotografías o filmar. ¡Varias decenas de personas nos abuchearon, se burlaron de nosotros, nos golpearon y nos arrancaron los teléfonos celulares y las cámaras!
La cámara de video de CNN fue dañada por un proyectil, y una mujer de edad avanzada amenazó al camarógrafo con un cuchillo.
En plena luz del día, dos muchachos arrebataron violentamente el bolso de una defensora de los animales (Sra. DU Yufeng: http://urgence-animaux-de-chine.over-blog.com/article-rapport-en-provenance-de-l-enfer-107470933.html ), quien traía en dicho bolso cerca de mil euros de donativos para salvar al mayor número de perros. Ante esto, ni la policía en civil ni los “controladores” del mercado reaccionaron. La Sra. DU Yufeng denunció los hechos, pero ningún policía aceptó ir al lugar del robo.
Los policías en civil arrancaron las banderolas de los defensores de los animales.
Una ardua jornada de investigación nos permitió descubrir que el servicio de “Seguridad alimenticia” engaña a la opinión pública y que sus directivas no son más que una pantalla. Por todos lados, todo es masacre y comercialización de vidas.
Durante varios días una investigación se llevó a cabo en el lugar mismo, por un grupo conformado por defensores de los animales y 5 abogados chinos (entre los cuales CAI Chunhong蔡春红: http://urgence-animaux-de-chine.over-blog.com/article-qui-a-tue-mars-109585359.html ).
¡622 chinos aceptaron denunciar los hechos, dando su verdadero nombre, su número de celular y el número de su identificación!
4 denuncias fueron presentadas ante las siguientes instancias:
- La Agencia local de vigilancia de productos alimenticios y farmacéuticos
- El Comité local de seguridad alimenticia
- La oficina ejecutiva local sobre la aplicación de la ley urbana
- La oficina de productos acuáticos y de cría. (Fotos)
Esta última confirmo la buena recepción de nuestras demandas.
En la Agencia local de vigilancia de productos alimenticios y farmacéuticos fuimos recibidos por un empleado muy agresivo. En nuestro intento por hablar con el Sr. LI Junqing, responsable del servicio, éste se negó a responder a nuestra llamada a su teléfono celular y en el número de la oficina nos respondieron que nos habíamos “equivocado de número”.
En la Oficina ejecutiva local sobre la aplicación de la ley urbana tuvimos un recibimiento FROID. No había nadie en el edificio más que un anciano “en turno”, con el pie descalzo extendido sobre la mesa.
Cuando nos dirigimos al ayuntamiento de YULIN (un edificio lujoso), varias decenas de policías uniformados y en civil, que no sabemos de donde salieron, nos fotografiaron sin cesar y nos prohibieron fotografiarlos, al grito de “¡Te vamos a arrebatar tu celular!”. En su intento por proteger a las mujeres del grupo, uno de los abogados estuvo a punto de tener un confrontamiento físico.
Un vehículo de personas en uniforme:
Nadie respondió a nuestras preguntas, es como si no entendieran chino. Cuando los fotografiamos desde lejos, se dispersan tan rápido como si fueran pájaros.
Un hombre vestido de negro, que se dice transeúnte, entra y sale del Ayuntamiento como si estuviera en su propia casa. Cuando le hacemos preguntas, nos da la espalda murmurando palabras que no alcanzamos a entender.
NADIE NOS RECIBE EN EL AYUNTAMIENTO. LA COMUNICACIÓN QUEDA PARALIZADA.
“Gracias” a la propaganda del gobierno local, los habitantes de Yulin consideran que toda persona que venga de fuera es pagada por los extranjeros “anti-chinos”. Se nos insulta en la calle, nos arrebatan nuestro material y nuestras pertenencias.
Según el Centro Local de prevención de enfermedades, Yulin es una de las zonas de más alto riesgo de rabia.
Miren a este hombre: con la mano izquierda agarra un perro, con la derecha carga un niño de 3 ó 4 años…
YULIN, ERES SINONIMO DE LA VERGÜENZA !!!